Vers notre face cachée t.2

Vers notre face cachée t.2

4897636 Pour le Québec seulement | Diffusion en Europe en 2014

En ce temps de tourmente, l’auteure remet en question les croyances qui ont forgé l’esprit de notre civilisation sur son déclin. Ce livre peut bouleverser nos schèmes les plus anciens et les plus solidement enracinés comme une invitation à une transformation profonde.

Tout est politique. Dans la mesure où la politique est une prise de conscience de son pouvoir d’influence, donc de sa force de rayonnement, tous nos gestes perdent leur innocence. 

QUATRIÈME DE COUVERTURE 

Existe-t-il un complot ? Les Illuminati conspirent-ils contre l’humanité ? Sylvie Bergeron décrit les pièges de la pyramide sociale tendus par les idéologies religieuses et scientifiques. Elle explique comment parvenir à développer la force mentale pour se défendre contre toutes les formes de domination. De cette instruction, l’individu enterrera ses démons pour faire émerger l’esprit d’une civilisation nouvelle totalement incomparable à celle que nous quittons dans la douleur.

« Accéder, sans le concours d’une preuve scientifique ou d’un texte sacré, à un savoir mental qui met fin au sentiment du mystère est si vertigineux pour un individu, qu’il refuse le plus souvent d’assumer le pouvoir de savoir. Par manque de force mentale, il préfère préserver son innocence. Voilà le vrai complot contre l’humanité. » SB.

EXTRAIT

Nous ne sommes pas innocents.Mais nous tâchons de le rester le plus longtemps possible. Entre savoir et feindre d’ignorer, les non-dits engendrent la souffrance humaine. Qu’avez-vous choisi ?

Sylvie

 La politique du profit

 Dans la mesure où la politique est une prise de conscience de son pouvoir d’influence, donc de sa force de rayonnement, tous nos gestes perdent leur innocence.

 Dès que nous sommes en âge de nous apercevoir de notre impact sur les autres, nous perdons notre innocence. Nos moindres conduites se mutent en une négociation plus ou moins adroite. Nous sommes tous des êtres politiques.

 Mais travaillons-nous toujours à notre seul profit, comme le prétendent les philosophes utilitaristes ? Si oui, c’est que nous avons une conscience étroite de nous-même. Dans une conscience matérielle, le petit moi est toujours inquiet et cherche le profit pour conjurer la peur et le doute : l’individu sans contact avec sa force de rayonnement vit d’insécurités.

 Privé d’une conscience visionnaire, l’humain tend à tout rapporter à lui en soutirant l’énergie dont il a besoin à partir de sources externes. Cette étroitesse de vue le prive de son potentiel créatif en tant que principe universel. Il est obligé de s’en remettre au bagage collectif qui lui dicte son comportement. Un être non libéré des trames de la mémoire collective crée des tensions en lui et autour de lui qui lui permettent de sentir qu’il existe. Mais dans les faits, il divise et projette ses forces psychiques hors de lui, incapable de les rapatrier au centre de lui-même ; il n’est pas individualisé.

 Un être affranchi dans sa conscience visionnaire reste au centre de lui pour s’assurer de ne pas perdre sa lumière créative.

 Il avance confiant et tend facilement la main aux autres, pour autant que son geste ne s’oppose pas à son équilibre. Chaque être peut apprendre à devenir responsable de son rayonnement individuel par sa conscience visionnaire qui transcende l’ego conditionné.

 Notre degré de conscience détermine la mesure de notre pouvoir de rayonner.

 Et qui dit conscience dit perte d’innocence…

 …Les gens ne veulent pas savoir à quel point ils se font flouer, car il n’y a pas d’issu à cette équation cynique mondiale. Sauf celle de se prendre en main… Non pas en devenant riche, mais par une révolution psychique qui change la perception du petit moi. Comment l’être peut-il s’apercevoir de ce qui se trame réellement dans son mental alors que son regard est tout tourné vers le monde visible ? Comment peut-il cesser de banaliser les influences de sa psyché et des univers parallèles invisibles à ses yeux physiques ?

Certains contribuent, consciemment ou non, à rendre la société amorphe et anxieuse. Ils assurent au « système » sa marge de profit. L’élite intellectuelle impuissante est prisonnière d’idéologies qui ne pourront jamais sortir les peuples du sommeil. Qu’ils soient philosophes, politiciens ou théocrates, leurs idéologies s’inscrivent comme une pénurie du réel qui jamais n’égalera le rayonnement d’un seul individu affranchi. Si l’espoir et les prières sont perçus comme seuls ressorts à l’angoisse, on voit mal comment les hommes politiques ou philosophes aideront à réveiller les consciences avec des idéologies. Car quiconque ne voit le monde que par sa conscience matérielle est manipulé et n’a pas accès au total quantique de ses énergies.

TABLE DES MATIÈRES

PREMIÈRE PARTIE

LA POLITIQUE DU PROFIT

La force de rayonnement
«  L’enfer, c’est les autres  »

DEUXIÈME PARTIE – LES INTERFACES

La politique de la conscience matérielle : le profit
La politique de la conscience visionnaire : le créatif
« Je pense donc je suis  »
Le choc de la première fois

TROISIÈME PARTIE – LA POLITIQUE DU CRÉATIF

 » Connais-toi toi-même  »
La programmation et le désir dans la faille
L’émergence du Juste
Le juge et le témoin : la lente construction de l’ego créatif
Du supramental à la conscience cellulaire

QUATRIÈME PARTIE – LES DESSOUS DE LA GÉOPOLITIQUE

Régime psychopolitique de notre civilisation
Négocier sa place
La guerre contre l’impression
Morale et démocratie devant l’identité
Le culte de la personnalité
Le mythe des Illuminati
Le principe de Lucifer
La théorie du complot
Le Nouvel Ordre Mondial, un subterfuge
La civilisation émergente
Établir son règne
Tout est inversé
Régime psychopolitique de la nouvelle race
Naissance de l’ordre universel
Des signes et des faits
La réalité cosmopolitique

ANNEXE

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